Daniëlle Posthuma, Eco J. C. de Geus, and Dorret I. Boomsma, Genetic Contributions to Anatomical, Behavioral, and Neurophysiological Indices of Cognition, in Behavioral Genetics in the Postgenomic Era, 2003, Robert Plomin, John C. DeFries, Ian W. Craig, & Peter McGuffin.
L’importante contribution génétique aux différences individuelles dans le QI a été bien établie (Bouchard & McGue, 1981; Plomin, Owen, & McGuffin, 1994). De l’enfance à l’adolescence, l’impact relatif des facteurs génétiques sur le QI augmente (Boomsma & van Baal, 1998; Cherny & Cardon, 1994) et devient encore plus élevé à partir de l’âge adulte (Posthuma, de Geus, & Boomsma, 2001; Posthuma, Neale, Boomsma, & de Geus, 2001) jusqu’à l’âge adulte avancé (Plomin, Pedersen, Lichtenstein, & McClearn, 1994).
Les données de quatre grandes études sur les jumeaux provenant du Dutch Twin Registry (voir Table 9.1; Figure 9.1), qui sont partiellement longitudinales et partiellement transversales, reflètent cette augmentation dans l’héritabilité des capacités cognitives avec l’âge (Bartels, Rietveld, van Baal, & Boomsma, in press; Boomsma & van Baal, 1998; Posthuma, de Geus, et al., 2001; Rietveld, Dolan, van Baal, & Boomsma, in press; Rijsdijk & Boomsma, 1997; Rijsdijk, Boomsma, & Vernon, 1995).