Dans les débats ayant à voir avec les races, et le QI plus particulièrement, des termes techniques (et abréviations) sont souvent utilisés. Sans ce bagage technique, il peut parfois s’avérer difficile de comprendre les discussions. Voici donc une liste des termes souvent employés, et leur équivalent en anglais, par ordre alphabétique. La liste n’est évidemment pas exhaustive, mais ce sont les termes qui reviennent le plus souvent, me semble-t-il, dans les discussions et les études publiées sur le sujet.
Monthly Archives: March 2013
QI des africains, pauvreté, maladie, et climat
Lorsqu’il est question des différences de QI entre les races, la cause soit-disant la plus souvent énoncée serait que la pauvreté est le facteur causal de leur faible QI, non l’effet. L’erreur de cette prémisse c’est, comme Jensen (1973, pp. 129, 232-233) l’avait autrefois pointé du doigt, que les adeptes de cette thèse se contentent d’inférer cette cause simplement parce que le QI bas est corrélé à l’environnement délétère. Ils ne se contentent pas d’apporter de preuves directes.
De l’importance du QI dans la réussite scolaire : analyse du NLSY79 et NLSY97
Dans The Bell Curve, Herrnstein et Murray ont démontré que le QI était de très loin plus important que le statut socio-économique (SES) des parents pour prédire le succès économique. Toutefois, ils n’ont généralement pas étendu leur analyse aux autres groupes ethniques tels que les hispaniques et les noirs. C’est pourquoi je l’ai fait. Ma conclusion supporte néanmoins celle de Herrnstein et Murray. Le QI reste le prédicteur le plus important de réussite sociale, et ce, quelque soit le groupe ethnique et les genres.
Différences de QI entre les noirs et les blancs dans le NLSY97 : L’éducation est-elle si importante ?
Il est souvent pensé à tort que l’éducation et plus largement le statut social sont largement responsables des différences de QI entre les blancs et les noirs. Comme nous allons le voir, mes tests successifs échouent à confirmer la théorie environnementale du QI.