Erectus Walks Amongst Us – Richard D. Fuerle [Section 2]

Traduction du livre Erectus Walks Amongst Us, disponible en PDF.

Erectus Walks Amongst Us – Richard D. Fuerle [Section 1].
Erectus Walks Amongst Us – Richard D. Fuerle [Section 3]
Erectus Walks Amongst Us – Richard D. Fuerle [Section 4]
Erectus Walks Amongst Us – Richard D. Fuerle [Section 5]

Section 2 : Traits of Living Populations

Le négationnisme racial prétend que la race est une construction sociale. Que les races n’existent pas, biologiquement. En vérité, les races sont apparues pour la même raison que les espèces sont apparues – les populations sont devenues isolées et ont changé graduellement, dans des directions différentes, et il y a très peu d’afflux d’allèles venant d’autres populations.

Chapitre 9 – Hard Tissue

Commençons par comparer deux crânes; à gauche, asiatique, et à droite, caucasien.

La calotte du crâne asiatique est ronde, et le visage est plat. Bien que le crâne caucasien est un peu plus long (de haut en bas), il est très semblable au crâne asiatique, indiquant que les asiatiques et les caucasiens n’ont pas été séparés en deux races distinctes depuis tout ce temps, ou c’est parce qu’il y avait des croisements entre leurs deux lignées.
Un test simple, mais intéressant, pour savoir si un crâne est asiatique consiste à le placer face cachée sur une table. S’il tient sur ses pommettes, et qu’il ne bascule pas sous prétexte que le nez ne touche pas la table, alors le crâne est probablement asiatique.

L’image ci-contre montre le crâne d’un mâle afro-américain. Il est sensiblement différent des deux précédents; déjà, il est plus étroit. Les os du crâne (et le reste du corps) sont plus denses et plus épais. Les orbites sont plus rondes, proportionnellement plus grandes, et la distance entre elles est plus grande. La petite bosse au sommet de la tête suggère une carène sagittale, une ‘crête’ le long du sommet de la tête depuis le front jusqu’à l’arrière du crâne pour attacher les muscles de la mâchoire et renforcer le crâne contre les coups reçus lors des combats. L’ouverture pour le nez est plus large, les os du nez sont moins saillants, et les dents plus massives, avec la réunion des incisives en oblique. La différence la plus notable est son prognathisme, un trait trouvé chez les singes et les anciens fossiles de crânes humains (même parmi ceux qui n’étaient pas originaires d’Afrique).
L’écart considérable entre les pommettes (“arcades zygomatiques”) et le renfoncement sur les côtés derrière les orbites (“constriction post-orbitaire”) indique que la mâchoire plus massive a été entretenue par de puissants muscles de la mâchoire qui ont traversé la fosse temporale.

Les images ci-dessus fournissent une comparaison de profil d’un crâne africain de la tribu Manbettu (Congo) avec le crâne d’un anglais. Le crâne africain a les os du nez et un menton moins proéminents, une mâchoire plus profonde, et l’os qui soutient la mâchoire (le Ramus ascendant) est plus large. On peut aussi remarquer que le crâne africain ne tient pas “debout” mais tombe vers l’arrière.

À la naissance, les africains ont moins d’os crâniens que les eurasiens, les enfants blancs ayant les os frontal et temporal divisés en six plaques alors que les os chez les nourrissons noirs forment un seul bloc [7]. Les os du crâne (et les autres os) chez les africains et les erectus sont plus épais et plus denses (plus forte teneur en minéraux), même chez le fœtus, ce qui rend les os plus difficiles à briser, une aide pour les coups de tête et les combats compte tenu du fait qu’un coup à la tête pouvait facilement être fatal.

Certains anthropologues croient que les crânes sont devenus épais vers 1,6 à 1,8 millions d’années BP, quand les erectus ont développé des armes, et le résultat fut qu’il y avait plus de crânes brisés (Wrangham, 1996Schulting, 2002). Mais avoir des os plus denses (et moins de graisse) font des africains de très mauvais nageurs (ils flottent moins bien), même si cela réduit leur vulnérabilité à l’ostéoporose. Les femmes ont des os plus légers que les hommes. Les eurasiens ont des os crâniens minces et légers (graciles), les africains des os épais et denses (robustes).

L’indice céphalique, qui est 100 fois la largeur du crâne divisée par la longueur, est plus grand chez les asiatiques, et le plus petit chez les africains. Le crâne long et étroit des africains (dolichocéphale) perd le plus rapidement la chaleur, et le crâne plus sphérique des asiatiques (brachycéphales) conserve le mieux la chaleur (Boyd, 1955).

La Figure 9-8 ci-contre est un arbre montrant la relation entre populations humaines basée sur 57 mesures de crânes masculins (DeAnza College, CA). Là encore, on peut voir que les africains sont très éloignés de tous les autres, même des aborigènes australiens.

Si la carène sagittale est habituellement absente chez les eurasiens, ce n’est pas le cas des africains. Cette carène peut aussi être trouvée chez les herbivores qui ont besoin de muscles puissants pour broyer les matières végétales (ex, le gorille) et chez les carnivores qui ont besoin d’une puissante morsure pour tuer des proies plus grosses (ex, lynx roux).

Le chignon occipital (Figure 9-12), plus fréquent chez les africains que les européens, absent chez les asiatiques, est un renflement à l’arrière du crâne, là où précisément le cerveau traite l’information visuelle. Georgicus, antecessor, l’homme de Pékin, Jinniushan, Néandertal et Heidi l’avaient également, alors il est probable que ce soit un trait primitif. Le rôle du chignon occipital n’est pas clair, mais il est le plus associé à l’homme de Néandertal.
Certains crânes africains sont également caractérisés par une bosselure (“dépression post-bregmatique”) dans le haut du crâne, visible depuis le côté (Figure 9-13). C’est une caractéristique primitive qui a été vue aussi chez Hobbit.

La constriction post-orbitaire (plus prononcée chez les africains) libère plus d’espace pour les grands muscles de la mâchoire, mais indique un plus petit prosencéphale (cerveau antérieur), le centre de la planification et de la pensée abstraite.
Le foramen magnum est l’ouverture dans la base du crâne à travers laquelle la moelle épinière sort du crâne. La tête est positionnée sur la moelle épinière pour que les yeux voient dans une direction parallèle au sol. Puisque nous marchons debout, notre moelle épinière est à la verticale, de façon à ce qu’elle entre directement en dessous du crâne. Les chimpanzés et les gorilles marchent sur les articulations avec de longs bras et de courtes jambes, et leur moelle épinière est oblique et entre plus en arrière du crâne. Les singes marchent sur quatre pattes, et leur moelle épinière est presque horizontale et entre à l’arrière du crâne.

Les arcades sourcilières sont des bourrelets osseux au-dessus des orbites qui renforcent le crâne et protègent les yeux lors des combats. Elles sont nécessaires lorsque les dents sont grandes, les mâchoires lourdes, et les muscles de la mâchoire puissantes, le genre de caractéristiques des populations qui se nourrissent principalement de matières végétales. Une fois que l’homme a appris à chasser, à contrôler le feu, à faire cuire sa nourriture, les grands muscles des mâchoires n’étaient plus nécessaires, ce qui implique une réduction des arcades sourcilières.

Les asiatiques de l’Est ont les orbites les plus rondes et les aborigènes australiens ont les orbites les plus rectangulaires. Les orbites de Néandertal sont également rondes, mais les orbites des africains et des européens sont carrées ou rectangulaires; les européens ont des orbites plus inclinées. Les différences raciales dans les orbites ne sont pas grandes et se chevauchent à cause des croisements. Exceptés les néandertaliens, la taille des orbites, et donc la taille des yeux, diminue légèrement dans les climats plus froids, ce qui est certainement une adaptation au froid pour aider à réduire l’exposition des yeux.

La proéminence nasale mesure combien les os du nez se prolongent depuis le visage. Les os nasaux sont les plus proéminents chez les européens, les moins proéminents chez les africains (leur os du nez est très plat). Les narines des africains s’ouvrent plus haut sur le visage, plus proches des yeux, mais pas autant que chez les singes.
L’indice nasal (100 fois la largeur de la cavité nasale divisée par sa hauteur) est le plus élevé chez les africains, et le moins élevé chez les caucasiens. La cavité nasale est courte et large chez les africains, elle est longue et étroite chez les asiatiques et les caucasiens (mais reste plus grande chez les caucasiens).

La différence entre les eurasiens et les africains dans l’épine nasale est immense. L’épine nasale antérieure est un petit os qui s’étend vers l’extérieur depuis le milieu de la base de la cavité nasale, elle soutient un nez qui dépasse (saillie). L’épine nasale est proéminente chez les caucasiens, moins chez les asiatiques, et petite ou absente chez les africains et afro-américains.
La race d’un crâne peut être déterminée en plaçant un stylo à travers la base de la cavité nasale. Si le stylo est maintenu en place par l’épine nasale, le crâne est caucasien; s’il roule, le crâne est africain. On dénote aussi l’absence d’une épine nasale antérieure chez les chimpanzés et les gorilles.

Le prognathisme simien (une mâchoire saillante avec un nez en retrait) est un trait très primitif caractéristique des singes. Une mâchoire protubérante est nécessaire si les dents sont grandes, et c’est un avantage dans la lutte, car elle permet une plus grande morsure et rend les yeux moins vulnérables.

La Figure 9-24 (Nature, vol. 228) ci-dessus montre une comparaison de la mâchoire inférieure (mandibule) d’un orang-outan, d’un noir et d’un blanc. Les chiffres présentent le ratio de la longueur sur la largeur. Plus le visage est plat, plus ce ratio est faible.

Plus un crâne est moderne, plus son angle facial doit être élevé, et donc l’inclinaison en partant du front jusqu’à la mâchoire est moins forte. L’image ci-dessus, de Camper, nous en donne l’exemple. Camper donne un angle facial de 70° pour “Negro” (Congoid). Les Homo habilis et erectus avaient aussi un angle de 70°.

“… the Negro thus has a facial angle generally between 70 and 75 degrees, occasionally only 65 degrees.” (Hunt, 1865) […] An angle of 60° has been given for the Hottentots and Bushmen, and 66.6° for the Australian aborigines below the nose. (Baker, 1974, p. 281); orangutans have a facial angle of 58°.

Camper considérait un angle facial de 100° comme étant la quintessence de la beauté. Une mâchoire protubérante est généralement associée à un front fuyant, indiquant un plus petit cortex préfrontal, la région du cerveau qui gère la planification, l’inhibition et le contrôle de soi. Comme en témoigne Walter Ferguson, 1989, page 106 :

In the hominization of the human face there has been a trend in the facial angle from low, as in an anthropoid ape, to high in modern man. This angle is now understood to be primarily related to the development of the frontal part of the brain […] As the brain grew bigger, frontal protrusion increased to accomodate it.

L’absence de prognathisme est considérée comme moins bestiale et une indication d’une intelligence supérieure (le prognathisme réduisant la taille du cerveau). Le hibou, par exemple, avec une ligne parfaitement verticale du visage, était l’emblème d’Athéna, la déesse de la sagesse.

Le rôle du menton est de renforcer la mâchoire. Lorsque la mâchoire est massive, il n’y a pas besoin d’un menton. En revanche, une mâchoire gracile plus moderne exige un menton pour éviter les fractures de la mâchoire débilitante. Seuls les fossiles Hss ont un menton, bien que tous les humains modernes n’ont pas un menton proéminent.
La mâchoire inférieure peut être renforcée pour résister aux contraintes de la mastication en la rendant épaisse et lourde, en ajoutant un menton à l’extérieur, ou en ajoutant une Simian Shelf (une protubérance osseuse horizontale dans la bouche derrière les incisives inférieures) à l’intérieur de la mâchoire. Le Simian Shelf se trouve chez tous les singes, néandertaliens et hommes archaïques, mais il est absent chez les erectus et la plupart des hommes modernes (Coon, 1962, p. 349).

L’indice sacral est la largeur du sacrum (les cinq vertèbres fusionnées qui sont reliés au pelvis) en pourcentage de sa longueur. Le fait de marcher debout a augmenté l’indice sacral, permettant au sacrum de mieux soutenir les organes internes; donc un faible indice sacral est plus primitif, et un indice sacral élevé est plus moderne. Les noirs ont (et de très loin) l’indice le plus faible. Les égyptiens ont un indice légèrement plus élevé, à cause principalement d’un métissage qui a ravagé l’Égypte pendant plusieurs millénaires (chap 29). Les Andamenese ont, eux aussi, un indice légèrement plus élevé que les noirs, à cause des premières migrations de l’Inde vers l’Afrique (chap 26). Enfin, même les aborigènes australiens ont un indice sacral plus proche des européens que des africains, et un dimorphisme sexuel de l’indice sacral proche des européens car les deux lignées descendent d’un humain archaïque généralisé qui vivait en Asie de l’Ouest (chap 24 et 27).

Comme les primates ont évolué et changé leur mode de déplacement, du balancement des bras jusqu’à la marche sur les jambes, les bras ont raccourci et les jambes sont devenues plus longues.

L’indice brachial mesure le ratio du radius sur l’humérus. L’indice crural mesure le ratio du tibia sur le fémur. L’indice huméro-fémoral mesure le ratio de la longueur du bras (humérus + radius) sur la longueur de la jambe (fémur + tibia). Chacune des valeurs doit ensuite être multipliée par 100. Une valeur élevée de l’indice brachial et huméro-fémorale indique une adaptation au balancement des bras, et une valeur faible indique une adaptation pour la marche : “Referring to H. habilis: “Moreover, the arms are long relative to the legs, a characteristic that is more ape-like than human.” (Corballis, 1991, pp. 39-40)”. L’indice brachiale, crurale, et huméro-fémorale des africains est plus proche de celui des singes. C’est la règle d’Allen. Les climats froids sélectionnent des membres plus courts. Si les humains ont des jambes plus longues que les singes, c’est grâce à notre bipédisme.

Les mains des africains sont plus grandes, et les doigts des africains diffèrent des doigts chez les blancs d’une manière subtile. Dans l’utérus, l’hormone sexuelle féminine, l’œstrogène, augmente la croissance des zones verbales du cerveau ainsi que la longueur de l’index (“2D”), alors que l’hormone sexuelle masculine, la testostérone, augmente la croissance de la zone numérique du cerveau ainsi que la longueur de l’annulaire (“4D”).
Cela signifie que plus de testostérone dans l’utérus implique un plus faible ratio de la longueur de l’index sur l’annulaire (le ratio “2D:4D”); chez les hommes, l’annulaire (“4D”) est généralement plus long, mais chez les femmes, l’annulaire et l’index sont généralement égaux.

However, males who have a 2D:4D ratio that is higher than the average for males (and is therefore closer to the higher female 2D:4D ratio) have better numeracy, and males with smaller ratio than the male average have better literacy. (Brosnan, 2006).

Et comme on pouvait s’y attendre, les noirs (hommes et femmes) ont un faible ratio 2D:4D, ce qui est cohérent avec toutes les données qui montrent que les noirs (hommes et femmes) ont des taux élevés de testostérone et qu’ils sont moins performants dans les tâches numériques que dans les tâches verbales.

L’os du talon se projette davantage chez les africains, et diffère en longueur, en largeur, dans la forme et la position, ce qui leur donne une meilleure capacité de sprint et de saut. Cela expliquerait pourquoi les africains de l’Ouest excellent dans les sports qui requièrent le saut. Les pieds africains sont plus plats et il y a une plus grande séparation entre le premier et le deuxième orteil.

Chapitre 10 – Soft Tissue

En convertissant le volume du cerveau en nombre de neurones, les mongoloïdes ont en moyenne plus d’un demi milliard de neurones que les négroïdes. Les asiatiques de l’est ont le plus fort ratio “brain to body mass”. L’héritabilité de la taille du cerveau est estimée à 0.9 (Lynn, 2006, p. 47). Une héritabilité de la taille du cerveau adulte calculée par Miller & Penke, 2007 (Table 3) a été trouvée être de 0.891 (la moyenne de 8 études IRM, in vivo), et une corrélation IQ – Brain Size (Table 1) a été trouvée être de 0.41 (la moyenne de 15 études IRM, in vivo). Voir aussi, Brain size and correlates with IQ, sur abc102. En raison de l’épaisseur des membranes qui entoure le cerveau, le volume du cerveau est inférieur à la capacité crânienne (Figure 14-8).

Les gyri et sulci à la surface du cerveau augmentent considérablement la superficie du cortex cérébral, la couche externe du cerveau. Pourquoi est-ce que cela importe ? Tout simplement parce que la capacité crânienne, en limitant la taille du cerveau lorsque celui-ci se développe, les tissus cérébraux formeront plus de replis pour occuper toute la place disponible. C’est pourquoi des cerveaux plus complexes ont plus de “rides” (figure 10-1).

Les africains et certaines personnes “retardées” ont moins de circonvolutions dans le cortex cérébral de leur cerveau, où la pensée abstraite est traitée. Les aborigènes australiens ont également des cerveaux plus petits et moins complexes (figure 10-2). L’épaisseur des trois couches extérieures (la couche supragranular) du cortex cérébral (les six couches extérieures), augmente depuis l’animal inférieur à l’homme. La couche supragranular est 15% plus mince chez les noirs que chez les blancs.

In humans the cerebral cortex constitutes about 80 percent of the brain, in apes about 74 percent, in monkeys about 68 percent, and in prosimians about 50 percent. (Corballis, 1991, p. 67, 22,5 Mo)

La région préfrontale constitue 3,4% du cerveau chez le chat, 16,9% chez le chimpanzé et 29% chez l’homme [14]. La vision est traitée à l’arrière du cerveau, l’audition sur le côté, la planification et la pensée abstraite à l’avant du cerveau. Un cerveau qui se consacre plus à l’une de ces fonctions (au détriment des autres) aura une plus grande masse de tissu cérébral dans cette région, alors la forme du crâne sera élargie dans cette zone. Comparé aux eurasiens, l’arrière du cerveau chez les africains est plus développé alors que l’avant est moins développé (Broca, 1858, cited by Rushton, 2000a, p. 106; Bean, 1906Levin, 1997, p. 105), ce qui explique pourquoi le crâne africain est plus incliné. Les différences raciales dans la taille relative des différentes zones du cerveau sont suggérées par la façon dont le tabagisme affecte les races, ce qui est confirmé par le fait que les différents neurotransmetteurs dans le cerveau absorbent la nicotine à des vitesses différentes. Comparé aux fumeurs blancs, les fumeurs noirs américains absorbent 30% plus de nicotine par cigarette et prennent plus de temps pour débarrasser leur corps de la drogue.

Dans notre parcours pour devenir humain, notre cerveau n’a pas seulement augmenté en taille, mais certaines parties (lobes frontaux, cortex cérébral et sa couche supragranular) ont augmenté de manière disproportionnée. En outre, les sillons et circonvolutions ont augmenté. Ces changements ont été plus marqués chez les eurasiens que chez les africains.

De grandes testicules indiquent que les femelles s’accouplent avec plusieurs mâles. Quand il y a plus de promiscuité, les hommes ayant de plus grandes testicules (qui produisent plus de sperme lors de l’éjaculation) sont plus susceptibles de féconder l’ovule et de transmettre leurs allèles (pour les grandes testicules) à leurs fils; les femmes peuvent alors choisir des hommes ayant de grands organes génitaux pour que leurs fils aient plus de descendants. Tous les organes sexuels (ex, testicules, pénis, clitoris, vagin, ovaires) sont plus grands chez les africains (Library of Excerpts, “Menopause and Menstruation,” neoteny.org).

Les glandes apocrines sont des glandes odorantes situées dans des surfaces comme les aisselles et l’aine. Elles produisent des sécrétions qui (après qu’elles soient dégradées par les bactéries) produisent des phéromones, des substances chimiques qui ont des odeurs racialement et sexuellement distinctives. Les sécrétions sont racialement différentes, et les espèces de bactéries qui les dégradent pour produire les odeurs sont racialement différents. Ainsi, on distingue une nette différence de l’odeur corporelle entre les groupes raciaux, détectable par les chiens et par certaines personnes. Les glandes sudoripares (ainsi que d’autres glandes) diffèrent également en fonction de la race; la sueur des africains contenant plus de chlorure que la sueur des blancs. Les asiatiques ont moins d’odeur corporelle. Les asiatiques trouvent l’odeur des autres races répréhensible, en particulier l’odeur des noirs. L’odeur joue un rôle plus important qu’on ne le croit, puisqu’elle permet l’identification des similarités génétiques :

… odor is very important, both in identifying genetic similarity between individuals and, between the sexes, receptability towards mating, the suppression of menstruation, and even the identification of mothers and their babies.

… “Mothers can recognize their babies by smell alone within six hours after birth, and within days babies can recognize their mothers’ distinct smells.” (Etcoff, 1999, p. 241).

Une différence significative entre les humains et les singes, c’est que l’homme a une sclérotique blanche, tandis que les autres primates ont la sclérotique noire. Une sclérotique blanche signifie qu’il est plus facile de dire où est-ce qu’un homme regarde et de savoir à qui il parle, et où l’expression faciale est dirigée; cela facilite les communications et la coopération, en particulier les informations subtiles et personnelles. Elle suggère aussi la vie parmi des gens de confiance suffisante pour révéler ce à quoi on pense, et quelles actions on peut prendre. La sclérotique légèrement jaunâtre qui a été rapportée chez certains aborigènes australiens (Baker, 1974, p. 298), et des mâles africains adultes peut être due à la présence de mélanine dans leur sclérotique et une transformation moins complète en une sclérotique blanche. La nécessité d’informer les autres de son état émotionnel, et la nécessité pour d’autres personnes de le savoir, peut avoir affecté la sclérotique.

High intelligence is selected for in animals that have complex social interactions; the smartest animals are also the most social. Even consciousness may be a social adaptation, so that we are aware of how others see us and can behave accordingly.

Il est possible que les lèvres éversées que possèdent la plupart des africains ont été sélectionnées comme un signal de bonne santé, un attractif sexuel, puisque la couleur du visage ne peut pas être utilisée à cet effet en raison de leur peau noire. L’augmentation de la surface des lèvres aide à refroidir le cerveau (Irmak, 2004). Une autre possibilité serait que les grandes lèvres éversées, trait simiesque qui a été conservé, ont permis aux lèvres de basculer vers l’arrière pour exposer les dents quand la bouche est grande ouverte afin d’intimider les rivaux masculins.

Un nez étroit réchauffe et humidifie l’air. Il est utile là où l’air est froid ou sec. Un nez large est localisé là où l’air est chaud ou humide. Ce peut être le cerveau, plus que les poumons, qui nécessite un refroidissement ou un réchauffement. De grandes ouvertures nasales peuvent recevoir plus d’air lorsqu’une énergie soudaine est nécessaire, ce qui peut aider à expliquer le grand nez des néandertaliens. Le tableau 10-3 et la figure 10-8, ci-dessous, donne l’indice nasale (largeur de l’ouverture nasale divisée par sa longueur, fois 100).

La distribution des indices nasaux peut être interprétée par le fait que les premiers hominidés, qui vivaient une fois près de l’équateur et qui avaient le nez large, ont été poussés vers le Sud vers l’Australie et l’Ouest et le Sud de l’Afrique par les populations du nord au nez plus mince qui les ont remplacé juste au nord de l’équateur.

La graisse sous-cutanée retenant la chaleur dans le corps, elle est bénéfique chez les bébés car ils ont un ratio surface-volume plus élevé par rapport aux adultes. La graisse uniforme conserverait trop de chaleur dans les tropiques, mais la graisse concentrée dans les fessiers abaisse le centre de gravité du corps et ne s’ajoute pas au poids des jambes quand on se balance vers l’avant, offrant ainsi un moyen de stocker l’énergie intérieurement sans trop entraver les mouvements. Les noirs ont moins de graisse corporelle et plus de muscles que les blancs.

La couleur de peau évolue en fonction de la quantité de lumière UV à laquelle s’expose la peau (Jablonski, 2000). Puisque la mélanine (pigment qui fonce la peau, les yeux et les cheveux) protège des rayons nocifs du soleil, les blancs avec moins de mélanine sont plus susceptibles que les blancs à peau sombre de développer un cancer de la peau. Les noirs sont plus résistants que les blancs aux maladies de la peau. Le teint jaunâtre des asiatiques est dû à la présence de plus de graisse sous leur peau. L’héritabilité de la couleur de la peau est estimée entre 63 et 72%.

Sous les tropiques, les cheveux crépus facilitent l’évaporation de la sueur et maintient un cerveau bien frais. Les cheveux africains se développent plus lentement et sont plus fragiles que les cheveux des européens. Les cheveux des asiatiques sont ceux qui poussent le plus vite et qui ont la plus grande élasticité. Les africains ont les cheveux les plus courts, et les asiatiques ont les plus longs. Les mâles blancs et les mâles africains sont plus susceptibles de développer la calvitie que les mâles asiatiques. Certains africains, en particulier les femelles, ont le front assez dégarni. C’est aussi une caractéristique propre au bonobo et à l’orang-outan.

“It [Negro hair] is rarely more than three inches long and, generally not nearly so long. (Hunt, 1864, p. 10). (Emma Freeman, London’s Natural History Museum). […] “The superfices of the face [forehead] at puberty exceeds that of the hairy scalp both in the negro and the monkey, while it is always less in the white man.” (Cartwright, 1857, p. 45).

Les fibres musculaires de type 1 (ou “rouges”) permettent une meilleure résistance à la fatigue. Les fibres de type 2 (ou “blanches”) sont moins endurantes mais plus puissantes. Les africains de l’Est ont plus de fibres rouges, “And, compared to whites, they have 30 to 40% more of the enzymes needed to activate fast twitch muscles” (Ama, 1986), et ils excellent au marathon. Les africains de l’Ouest (et la plupart des afro-américains) ont plus de fibres blanches, et ils excellent dans le sprint et le saut. L’infériorité athlétique des eurasiens, et le fait qu’ils ont moins de fibres musculaires à contraction rapide, suggère une plus grande dépendance aux armes et aux outils, d’où la nécessité de développer une plus grande intelligence au détriment de la capacité athlétique.

Une testostérone plus élevée est corrélée avec un corps plus masculin, une maturité sexuelle plus précoce, une fécondité plus élevée, un taux élevé de maladies sexuellement transmissibles, une durée de vie plus courte. Et il a été trouvé que la testostérone augmente le crime (“High Testosterone Linked to Crimes of Sex, Violence”) chez les hommes, mais aussi chez les femmes. Elle est la plus élevée chez les africains, la moins élevée chez les asiatiques. Le niveau de testostérone décline lorsqu’un mâle développe les liens de couple, indiquant un plus grand succès reproducteur chez ces mâles dans un système de monogamie.

Les personnes à faibles niveaux de sérotonine tendent à être violentes, impulsives, hypersensibles, réagissant avec beaucoup d’émotivité. La sérotonine est au moins partiellement génétique, puisqu’elle est liée à des allèles spécifiques. Le niveau de sérotonine est plus faible chez l’africain. Certaines études ont montré qu’il n’existait aucune corrélation entre race et niveau de sérotonine une fois que le statut social (SSE) a été contrôlé. Le problème est que le SSE (SES en anglais) est corrélé à la race (étant donné que les noirs ont un QI plus faible que les blancs), ce qui explique pourquoi, en comparant des noirs et des blancs à SSE équivalent, on en vient à trouver ce genre de résultat. Les noirs et les blancs diffèrent dans la distribution du QI et du SSE. Contrôler ces facteurs revient donc à contrôler toutes les caractéristiques (e.g., violence, contrôle de soi, etc.) associées au SSE et/ou au QI, de sorte que ces études comparent alors les noirs de l’extrémité supérieure du SSE des noirs et les blancs de l’extrémité inférieure du SSE des blancs, ainsi que toutes les caractéristiques corrélées au SSE. Autrement dit, l’échantillon n’est plus représentatif.

La race n’est pas une construction sociale. Les races réagissent différemment aux substances chimiques et biologiques. Traiter une personne d’une race, comme si elle appartenait à une autre race peut entraîner de graves problèmes médicaux. Certains noirs ont un groupe sanguin rare, trouvé seulement chez les noirs, nécessitant la transfusion de sang d’un autre noir appartenant au même groupe, pour éviter toute incompatibilité.

“The number of red corpuscles and the amount of haemoglobin in the blood [Nicklas, 1987], the pulse-rate, the vital capacity [lung capacity], the muscular strength, the amount of urea in the urine, are different in different races.”

En Juin 2005, Food and Drug Administration (FDA) a approuvé la vente du BiDil TM, un médicament qui réduit les dommages au cœur des afro-américains, alors qu’il a peu d’effet sur les eurasiens. On constate des différences raciales dans la susceptibilité aux maladies. Les noirs sont plus susceptibles de contracter le cancer de la prostate (dû en partie à une variante du gène dans le chromosome 8), ils sont plus sensibles à la tuberculose. Les européens sont plus sensibles à la fibrose kystique. L’anémie falciforme est une maladie génétique qui frappe les africains. Le Tay-Sachs est une autre maladie génétique; elle frappe les juifs européens.

Chapitre 11 – Reproductive Strategy

Il existe deux stratégies que les êtres vivants peuvent utiliser pour produire la prochaine génération avec la quantité limitée d’énergie dont ils disposent pour la reproduction. Ils peuvent investir cette énergie pour faire un grand nombre de progénitures, en mettant peu d’énergie dans chacune d’elle; même si la plupart ne survivent pas, il y a tellement de rejetons que quelques-uns finiront par survivre (stratégie “r”). Ou ils peuvent investir cette énergie en faisant peu de progénitures, en mettant plus d’énergie dans chacune d’elles, de sorte que chaque rejeton a une meilleure chance de survie (stratégie “K”).
Le saumon a une stratégie “r”, pond des millions d’oeufs qui sont ensuite abandonnés, la plupart en meurent, mais c’est suffisant pour assurer la prochaine génération. L’éléphant a une stratégie “K”, avec un seul bébé de 170 à 250 livres après 22 mois de grossesse qui est ensuite nourri par la mère pendant trois à cinq ans.

Les sutures crâniennes (où les os du crâne se rencontrent) sont ouvertes et mobiles chez l’enfant mais ont fusionné chez l’adulte. Les sutures des africains ferment plus tôt, ce qui indique une moindre néoténie et une période moins prolongée de la croissance du cerveau, à cause de leur maturation rapide. Les différences de taille du cerveau sont détectées dès la naissance, et même à un stade foetal. Le fait que la maturation intellectuelle des africains plafonne plus tôt est cohérent avec les données qui montrent que les disparités de QI entre les noirs et les eurasiens augmentent avec l’âge.

The gap in performance between Negro and white children increases with chronological age; the gap is largest at high school and college levels. (Shuey, 1966). […] “Young Negro children are nearly as intelligent as European children; but the older they grow the less intelligent they become.” (Hunt, 1864). […] “The intellectual progress of the Negro is rapid during the first ten or twelve years, next it slows down, becomes stationary, then proceeds slowly, diminishing during some fifteen years. Finally a rapid enfeeblement occurs.” (Professor H.V. Vallois, quoted in (Putnam, 1961, p. 21)).

Les femmes noires enregistrent trois fois plus de naissances prématurées que les femmes blanches, même après ajustement du statut social, et leur période de gestation médiane est plus courte. Les femmes noires ont moins de complications d’accouchement en raison de la petitesse de la tête du foetus et de son crâne allongé.

“In the United States the average woman will be a source of 14 children, grandchildren, and great-grandchildren; the comparable figure for an African woman is 258.” (Rushton, 2000a, p 161).

La fécondité des pays africains est extrêmement forte. Mais c’est certainement l’aide et les subventions qui expliquent l’explosion de leur démographie. Par exemple, la population du Nigéria a doublé en 25 ans (65 millions en 1980 à 144 millions en 2007), et on s’attend à ce qu’elle atteigne 281,6 millions en 2050. Pour l’Afrique sub-saharienne, on dénombre 40 naissances pour 1000 individus (par an) et 16 décès pour 1000 individus (par an). La carte ci-dessous présente les taux de fécondité dans le monde.

Chapitre 12 – Behavior

L’argument a été avancé par Damasio (1994, Descartes’ error: Emotion, reason, and the human Brain) que sans émotions héritées qui motivent certains comportements, une chose vivante n’aurait aucune motivation à faire quelque chose. Nous héritons la plupart des pulsions qui guident nos comportements (revoir chapitre 8).

Children’s behavioral problems are largely genetic (Harden, 2007), and there is evidence that even facial expressions are inherited. (Peleg, 2006).

Les enfants humains naissent avec une peur normale, naturelle, des serpents et des araignées. On constate des similarités dans les traits de caractère chez les jumeaux identiques élevés séparément. L’environnement peut modifier l’importance des traits hérités, mais sans jamais pouvoir les supprimer.

La capacité à différer la gratification est la plus élevée chez l’asiatique, et la plus faible chez l’africain. Comparé aux blancs, le taux d’épargne des noirs est extrêmement faible. On peut penser que le contrôle de soi peut être enseigné. Mais ce n’est pas aussi simple :

In Rhodesia and South Africa, white farmers taught Africans farming and herding for four years; the black farmers produced 10 times as much as before. The whites left and returned two years later to find the farmers had reverted to their previous behavior. (Mes, 1964 & 1965).

L’incapacité des noirs à différer la gratification les conduit à louer au lieu d’épargner, à voler au lieu de travailler et d’attendre, et à violer au lieu de courtiser et de séduire. La planification est essentielle pour créer et conserver une civilisation; quelque soit les époques observées, les africains n’en ont jamais été capables. L’hiver a obligé les eurasiens à stocker de la nourriture, car ils ne pouvaient pas hiberner, et le besoin de stocker dépend de la sévérité des hivers. Mais ce sont des éléments qu’on ne peut pas prévoir, et c’est pourquoi les hommes, comme les écureuils, stockaient des excès de nourriture dès qu’ils le pouvaient.

Sous les tropiques, la nourriture était abondante toute l’année. Les africains n’avaient pas à s’inquiéter de l’hiver, même si des changements dans les précipitations (et autres facteurs) auraient pu affecter leur approvisionnement alimentaire. Ces changements sont imprévisibles, c’est pourquoi toute planification devient un gaspillage de temps et de ressources. Même s’ils pouvaient acquérir de la nourriture supplémentaire, il est presque impossible d’en stocker durablement sous les températures élevées des tropiques. Ainsi, les africains n’ont jamais eu l’occasion de développer la patience et le contrôle de soi (ce qui expliquerait pourquoi ils échouent au Marshmallow test).

“In tropical environments where food is available all year round, hunter-gatherers rarely store food even overnight…” (Haywood, 2000, p. 90).

La promiscuité dans une population est corrélée aux larges testicules car les femelles ont des rapports avec de nombreux hommes. Le mâle qui produit le plus de sperme est plus susceptible de féconder l’ovule. Comme le fait d’avoir plus d’enfants signifie moins d’investissement par enfant, plus de sperme signifie moins d’investissement par sperme, ce qui diminue la qualité. Il existe un compromis entre taille des testicules et taille du cerveau; chacun étant un organe coûteux, les ressources investies dans l’un d’eux laissent moins de ressources disponibles pour l’autre.

… brains and testicles support different strategies for the male to pass on his alleles; large testicles rely on sperm competition and a large brain relies on “meat for sex”

Habituellement, les primates les plus monogames ont les pères les plus dévoués. Même lorsque les femelles s’accouplent avec plusieurs mâles, un mâle fournira des soins particuliers au bébé, surtout s’il peut l’identifier comme étant le sien, grâce à l’odeur. La monogamie est aussi associée à la taille du cerveau :

“… the largest relative brain sizes among primate species are associated with monogamous mating systems …” (Schillaci, 2006).

Le fardeau de l’approvisionnement en nourriture est plus lourd pour les hommes vivant dans un climat froid, et il était plus difficile pour eux de soutenir plus d’une femme. Dans les régions tropicales, les femmes rassemblent la nourriture pour elles et leurs enfants. Les couples africains n’éprouvèrent jamais le besoin de nouer des liens forts; c’est ce qui explique pourquoi les couples africains sont instables, même en Occident (stratégie orientée “r”). Les climats froids favorisent la monogamie, les climats chauds favorisent la polygamie. Dans l’Afrique sub-saharienne, une femme est susceptible d’avoir des enfants de pères différents; les enfants ne sont pas élevés par la famille, mais par le village.

La monogamie a été induite par les femmes lorsqu’elles ont évolué pour développer un comportement consistant à cacher les indications évidentes qu’elles étaient fertiles (organes génitaux – ou postérieur – rouge vif) afin que les hommes restent auprès des femelles au lieu d’aller courir après les autres femmes. L’ovulation dissimulée chez la femme conduit à la “vigilance copulatoire” de l’homme qui reste aussi près que possible de la femme pour éloigner les autres hommes et s’assurer qu’aucun d’eux puisse engender son enfant, ce qui favorise le lien de couple.

Pair bonding was an important step toward becoming human (Chapais, 2008, 89.6 Mo) and, since there is less of it in Africa, that suggests that it did not originate in Africa and that man’s lineage became human outside of Africa.

L’hormone qui induit le sentiment de tomber amoureux est encore une autre adaptation qui induit le lien de couple. Ce sentiment d’amour profond, qui fonctionne comme un dispositif d’engagement, facilite le pair bonding en réduisant les pensées d’un bel amant alternatif (Gonzaga, 2008).

Un article de Miller (“Paternal Provisioning versus Mate Seeking in Human Populations”), paru sur Lrainc, explique d’autres comportements induits par l’évolution.

A female would avoid marriage to a hunter already supporting another’s family. Even if married to an excellent hunter, a second wife (receiving half of his support) would probably be poorly provisioned. Cold climates lead to environmental monogamy (Alexander, Hoogland, Howard, Noonan, and Sherman, 1979).

Mongoloids are reported to be the most anxious, and Negroids least (with Caucasoids in between). This is closely related to dominance seeking and aggression, in that high anxiety deters dominance seeking and aggression. […] Conducting an affair with another man’s wife, or an unmarried chaste female, or rape, all involve risk taking. Thus, where the optimal male strategy is to devote less efforts to mating than to provisioning existing children, high anxiety is selected for. […] Food storage is practiced only (with exceptions) in societies whose growing seasons are less than about 200 days (Binford, 1980). Anxiety about food supply encourages storage, and discourages their too rapid consumption. Where storage makes a difference, high anxiety is selected for. […] Houses in snowy areas can collapse with a heavy snowfall, and cause loss of life, as well as leaving the inhabitants exposed to the cold. […] Anxiety would appear to encourage the construction of houses with adequate safety margins, and possibly an early start to such construction.

If cold climate fathers were selected for paternal investment, their descendants should commit less child abuse. Caucasoids do have lower child abuse rates than Negroids (Ellis, 1987, p. 159), and Mongoloids the lowest (Ellis 1993, p. 171).

Blacks have denser and stronger bones than whites (Himes, 1988; Pollitzer and Anderson, 1989). The disadvantage to higher density bones is higher weight (more energy required for movement) and greater need for calcium. The advantage is fewer fractures, and thus, lower mortality. The bone differences can be explained if black males engaged in more intermale conflicts, and those with stronger bones were less often injured. […]  Thus, Negroids appear to be selected more for fighting. This would be consistent with their more muscular body build and higher aggression. It is what would be expected if Negroids had been selected to win mating competitions.

Possibly relevant evidence is provided by Coleman (1980). Successful prone rifle shooters (who choose the moment of shooting) are the most introverted, while successful rapid fire pistol shooters (who have very little time to fire five shots, and have to move the pistol from target to target), are very extroverted. Apparently personality correlates with what looks like Worthy’s reactive versus non-reactive distinction. Thus, an alternative explanation for these racial differences would rely on selection for different personality traits. Since tropical climates seem to select for both quick reactions (as in fighting) and for extraversion, and cold climates for the opposite, both theories predict a similar north-south behavioral gradient.

U. S. whites have a life span estimated at 76.1 years versus 69.1 years for U. S. blacks (U. S. Department of Health and Human Services, 1993). If testosterone shortens life (Hamilton, 1948), as it appears to do (shown by the shorter life span of males than females, and of normal males compared to castrated males) […] Since death destroys a man’s ability to help his children, longevity facilitates paternal investing. Thus, if a father’s death hurts his child’s survival chances, selection for a long life will be stronger than if children can be raised without paternal assistance. Conversely, if an early death from mating competition is going to eliminate any reproductive benefits from slower degeneration later, the alleles that protect against degeneration in old age will be less beneficial (Diamond, 1992, Chapter 7, especially p. 132).

Unfortunately, high testosterone correlates negatively with male occupational success (Dabbs, 1992).

If the mother (or her female relatives) can rear the children, early opportunities for pregnancy should be accepted, especially if the genes are from a dominant and aggressive male. […] Northern females would prefer males who exhibited provisioning behavior, and traits conducive to it, such as altruism and empathy.

… many have noted the greater occupational and educational success of U. S. black females relative to black males (see Taylor, 1992, p. 25). Black females earn 99.0% of white female annual earnings, versus 64.6% of white male earnings by black males (Jaynes & Williams, 1989, Table 6-5). […] Even in contemporary Africa, the women appear much more industrious than the men (Lamb, 1987, p. 38).

Avant l’agriculture (il y a 12 000 ans), nos ancêtres chasseurs-cueilleurs développaient des liens de couple le temps qu’il avait fallu pour sevrer un enfant, soit 4 ou 5 ans. Après cela, le couple pourrait aller trouver d’autres partenaires s’ils le souhaitaient (Fisher, 1992). Toutefois, lorsque le mode de vie de chasseur-cueilleur a cédé sa place à l’agriculture, se diviser n’était plus possible parce que la survie était désormais liée à un lopin de terre à cultiver. Comme, aujourd’hui, le pourcentage d’agriculteurs aux États-Unis a diminué de 97% à moins de 3%, les couples sont revenus au style de vie originel du pair bonding à court terme (Allman, 1994, p. 130), alias “monogamie en série”.

La plupart des animaux (primates femelles) ont un postérieur charnu aux couleurs vives, et ils s’accouplent par derrière (Etcoff, 1999, p. 188). Seuls les hommes, les orang-outans, les bonobos, les macaques japonais et les gorilles (parfois), et les porcs-épics s’accouplent front-to-front. Le postérieur charnu des Andaman Islanders, Hottentots, et Bushmen suggère un accouplement front-to-back, ou au moins, chez leurs ancêtres. Et même si les données sur les positions sexuelles des africains sont difficiles à trouver, la position des organes génitaux des africains (mâles et femelles) suggère fortement un accouplement front-to-back : “While the female genitals in Orientals are “front and high,” in Africans they are “back and low”; erections in Orientals are “parallel to the body and stiff” but in blacks are “at right angles to body and flexible,” which also suggests front-to-back mating”.

“The ethnographic record {e.g., A French Army Surgeon (1898/1972), a 30-year specialist in genitourinary diseases} makes reference to numerous anatomical distinctions which show a similar pattern of whites being between blacks and Orientals. These include the placement of female genitals (Orientals front and high; blacks back and low); angle and texture of erection (Orientals parallel to body and stiff, blacks at right angles to body and flexible); salient buttocks, breasts, and muscularity (Orientals least, blacks most); and size of genitalia (Orientals smallest, blacks largest). We averaged the ethnographic data on erect penis and found the means to approximate: Orientals, 4 to 5.5 in. in length and 1.25 in. in diameter; Caucasions, 5.5 to 6 in. in length and 1.5 in. in diameter; blacks, 6.25 to 8 in. in length and 2 in. in diameter. Women were proportionate to men, with Orientals having smaller vaginas and blacks larger ones, relative to Caucasians. Clitoral size differed in length: in European women, 1.2 in.; in African women, 2 in. variations were noted; in French West Indies, the size of the penis and vagina covaried with amount of black admixture; Arab men, who were often mixed with black, had larger penises than Europeans. Recent data show similar patterns. Measurements taken from living subjects as well as those at autopsy, show the size of testes is twofold lower in Asian men than Europeans (9 g vs 21 g), a difference too large to be accounted for entirely in terms of body size (Diamond, 1986; Short, 1984).”
– Library Of Excerpts, Sexual Organs and Heterochronic Theory

Les noirs ont la plus forte incidence de maladies sexuellement transmissibles, conséquence évidente de leur promiscuité, et de leur impulsivité. Leur incapacité à prévoir les conséquences futures de leurs actes les poussent à copuler sans protection. En 2006, aux USA, la population vivant avec le VIH est disproportionnellement noire. Comparés aux blancs, les afro-américains ont un taux de chlamydia 8 fois supérieur, un taux de gonorrhée 18 fois supérieur, un taux de syphilis congénitale 15 fois supérieur.

L’altruisme, soit le désir d’aider les autres, même des étrangers, apparaît comme un comportement génétiquement induit, surtout qu’il a été observé chez des enfants d’à peine 18 mois (Warneken et al., 2006). L’empathie pour la souffrance d’autrui active les centres de la douleur du cerveau et motive les gens à aider les autres pour soulager le malaise (Jackson et al., 2005; Tankersley et al., 2007).

L’esclavage a déjà été pratiquée dans l’histoire, par chacune des trois races, que ce soit envers les membres de leur propre race ou envers les autres races. Aujourd’hui, seuls les africains pratiquent ouvertement l’esclavage [40]. Aux USA, avant 1865, les esclaves libérés ont, à leur tour, acheté des esclaves noirs. Si les blancs n’avaient pas acheté d’esclaves noirs aux africains, ils auraient probablement été tués ou mangés, car les esclaves n’avaient de valeur que s’ils étaient vendus. Pour les esclaves noirs, être acheté par des non-africains était une stratégie de reproduction couronnée de succès.

“Unlike other tribes, the Fang had few slaves, partly because they were accustomed to eat prisoners taken in war; but they bought the bodies of slaves from other tribes for eating, paying ivory for them.” (Baker, 1974, p. 391). The demand for slaves by non-Africans no doubt increased the number of Africans that were enslaved by other Africans.

L’homicide pour cannibalisme est le plaisir d’avoir à tuer des gens pour les manger. C’est un bon indicateur de psychopathie car le cannibalisme nécessite une absence totale d’empathie pour la victime. Il est encore pratiqué de nos jours en Afrique. Dans les climats froids, les hommes avaient besoin de coopérer, de se faire mutuellement confiance, et d’établir des liens solides pour la survie. Nous devrions nous attendre à un pourcentage plus élevé d’individus psychopathiques parmi les populations primitives des tropiques. Voir Richard Lynn.

“Cannibalism is found in its simplest form in Africa. In that continent the majority of cannibal tribes eat human flesh because they like it, and not from any magical motive or from lack of other animal food. In fact it is noticeable that the tribes most addicted to this practice inhabit just those districts where game is most plentiful.” (1911 Encyclopedia Britannica, p. 345). “This phase began on 26 June 1952 when Dr. Mary Quinlan, a White Sister who for many years had worked among the poorest Blacks in the port of East London [South Africa], emerged from a hovel where she had been tending a mother just confined in childbirth, and ran into a raving mob of several hundreds who tore her to pieces and ate her in the street.” (Reed, D., “The Siege of Southern Africa,” Chapter 7, 1974).

La tendance au comportement criminel semble héréditaire. En 1999, une enquête du ministère de la justice a révélé que 46% des détenus en prison avaient au moins un frère, un parent, ou un enfant qui avait été incarcéré à un moment donné. Le Minnesota Multiphasic Personality Inventory (MMPI) est utilisé pour mesurer la personnalité psychopathique. Les noirs et les indiens d’Amérique ont les meilleurs scores, vient ensuite les hispaniques, puis les blancs, et enfin les japonais et les chinois qui ont les scores les plus bas. La conscience et la personnalité sont concentrées dans le lobe frontal du cerveau. Les africains ont un lobe frontal moins développé que celui des européens.

Another difference: during natural disasters and the collapse of civil authority, whites tend to come together to help each other; blacks see it as an opportunity for looting and rape. (“Rape ‘Epidemic’ in African conflict zones: UNICEF,” Reuters, Feb. 13, 2008).

Les statistiques (BJS) montrent que les noirs commettent 9 fois plus de crimes que les blancs, les asiatiques 5 fois moins que les blancs. Même à statut social équivalent (Wolfgang, 1983), les noirs restent largement plus criminels que les blancs (viol, corruption, crime violent, vol), et ce, qu’ils soient riches ou pauvres. Selon le US Department of Justice NCVUS 2002 (Fig 12-2), les crimes black-on-white étaient plus de 5 fois supérieurs aux crimes white-on-black, cette année là. La criminalité noire diffère de la criminalité blanche, dans le sens où elle est plus impulsive, plus sauvage, et implique plus d’offenseurs, et de femmes. Selon le rapport The Color of Crime (page 12 & 13), entre 2001 et 2003, les noirs étaient 39 fois plus susceptibles de commettre des crimes violents sur des blancs que l’inverse, les noirs étaient aussi 136 fois plus susceptibles de commettre des vols sur les blancs que l’inverse, les noirs étaient 115 fois plus susceptibles de violer une femme blanche que les blancs de violer une femme noire.

Et contrairement à une croyance souvent répandue, les noirs ne sont pas les victimes d’un quelconque racisme institutionnel qui sous-entend que les policiers poursuivent délibérément les noirs plutôt que les blancs, alors que c’est l’inverse qui est vrai. Qui plus est, le gouvernement classe les hispaniques comme “hispaniques” lorsqu’ils sont victimes d’un crime de haine, sachant que les hispaniques sont classés comme “blancs” dès qu’ils sont l’auteur des crimes (La Griffe du Lion, Analysis of Hate Crime); or, il est un fait bien établi que les hispaniques commettent bien plus de crimes que les blancs.

S’il existe une lien solide entre faible QI et forte criminalité, la corrélation persiste pour les crimes en série, bien qu’elle soit complètement inversée :

By under-reporting black crime, the media has led the public to believe that most serial killers are white, but between 1945 and 2004, “African Americans were overrepresented in the ranks of serial killers by a factor of about 2.” (Walsh, 2005). That is less than their over-representation in all homicides, but since serial killers have an average IQ of 110, that is understandable. (Bourgouin, 1993).

Aux USA, durant la période 1975-1985, les homicides entre conjoints chez les noirs sont 8,7 fois supérieurs que chez les blancs. D’un point de vue évolutionniste, cela revêt du bon sens. On peut penser que si le tueur se fait attraper, cela diminue son succès reproducteur. Mais sa colère le conduisant à tuer sa femme est perçue comme un moyen d’accroître son succès reproducteur. Si sa femme le quitte, alors c’est un signe d’irrespect, ce qui abaisse son statut en informant les autres femmes qu’il n’est pas recommandable, réduisant les chances de s’accoupler avec elles. Ce qui est contre-intuitif, en revanche, est le fait que la femme blanche est plus susceptible qu’une femme noire d’être tuée par le mari noir. Posséder une femme blanche augmente le statut social de l’africain, et si elle le rejette, c’est une menace encore plus grande à son statut social. Les données indiquent que les couples racialement mixtes sont plus instables que les couples racialement homogènes (Mercy, 1989). Voici quelques extraits du document :

In this paper we examine patterns and trends in homicides between marriage partners in the United States for 1976 through 1985 using data from the Federal Bureau of Investigation’s Supplemental Homicide Reports (FBI-SHR). We identified 16,595 spouse homicides accounting for 8.8 per cent of all homicides reported to the FBI-SHR during this 10-year period. […] The risk of victimization was greater for spouses in interracial than in intraracial marriages and increased as age differences between spouses increased.

Of spouse homicides occurring from 1979 to 1981, 96.3 per cent occurred in intraracial marriages. Spouse homicides in marriages where the husband was Black and the wife was White constituted 1.4 per cent of the total, and marriages where the husband was White and the wife was Black accounted for 0.5 per cent. Spouse homicide incidence rates were 7.7 times higher in interracial marriages relative to intraracial marriages. The patterns in this risk varied by race and sex. White husbands, White wives, and Black wives were at greater risk of being killed by a spouse in an interracial than an intraracial marriage, whereas Black husbands were at less risk (Table 3).

Les africains enregistrent un taux élevé de viol, quelque soit le pays où ils se trouvent. C’était à prévoir compte tenu du fait que les femmes africaines étaient autoportantes, contrairement aux femmes dans le froid du nord. Les enfants issus de viols avaient donc peu de chances de survie, c’est pourquoi les hommes qui développaient des liens de couples avaient plus de succès de reproduction.

Chapitre 13 – Genes

Bien que les êtres humains ont les mêmes gènes, la fréquence d’un allèle donné d’un gène peut varier de 0% à 100%.

DAB1 (“disabled-1”), Chromosome 1. This gene is involved in organizing the layers of cells in the cerebral cortex, the site of higher cognitive functions. A version of the gene has become universal in the Chinese, but not in other populations. (Williamson, 2007).

MCPH1 … The alleles of this gene, commonly called “microcephalin,” at least partly determine brain size and/or organization. (Wang, 2004). A new allele of this gene that increases intelligence arose about 37,000 years ago … This allele is common in Eurasians but rare in Africans and absent in chimpanzees.

DRD4 (“dopamine receptor D4”), Chromosome 11, controls sex drive. (Zion, 2006). Some studies found that an allele is associated with novelty-seeking personality traits in two European populations (Benjamin, 1996), but other studies did not confirm this.

AVPR1a (arginine vasopressin 1a receptor), Chromosome 12, influences social bonding and altruism in humans and some animals. People with a long promoter of the RS3 allele are more altruistic than persons with a short promoter. (Knafo, 2007).

SLC24A5 (“solute carrier family 24, member 5,” aka the “golden pigmentation gene”), Chromosome 15. An allele of this gene that changes a single amino acid in a protein plays a major role in giving Eurasians lighter skin than Africans. (Lamason, 2005). The European allele is not the same as the Asian allele. (Norton, 2006). This gene is also expressed in the brain.

PDE4 (“pyridoxine-dependent epilepsy”), Chromosome 5. An allele of this gene is involved in cardiovascular disease and lung cancer susceptibility. Blacks who smoke up to a pack a day are far more likely to develop lung cancer than whites who smoke similar amounts. Blacks may have less protection against lung cancer because they were subjected to less smoke, as fire is not needed as much in the tropics. (Garte, 2001).

The reader may have noticed that genes that code for one trait may affect other, seemingly unrelated traits (eg, PAX6, CCR5, and PAX6) and that some alleles (“ancestral” alleles) are found in blacks and chimpanzees, but not other races (NQ02 , ASIP, APOH*3B, MC1R) or, vice versa, (ASPM, MCPH1).

Chapitre 14 – Intelligence

La figure 14-2 (de Kambiz Kamrani) donne l’évolution de la taille du cerveau.

Pourtant, il y a environ 30 000 ans, la taille du cerveau a commencé à régresser alors même que l’homme commence à vivre beaucoup plus longtemps. L’usage de la pensée abstraite (astronomie, langues complexes) aurait conduit à une hausse de la population car elle permet aux gens moins intelligents (et que l’on suppose avoir un cerveau plus petit) de survivre et de se reproduire. Aussi, l’avènement de l’agriculture il y a 12 000 ans aurait permis aux moins intelligents de survivre.

It is probable that at some stage in man’s evolution, mutations occurred that made the brain more efficient (probably about 2 mya), so that the same intelligence could be achieved with a smaller brain. (Shaw, 2006). Intelligent brains are more efficient than less intelligent brains. (Seligman, 1992, p. 62).

La corrélation de 0.4 entre le QI des conjoints est très cohérente avec l’existence et la persistance de l’homogamie. La corrélation entre le background scolaire des conjoints s’élève à 0.6. La corrélation entre background scolaire et QI est également de 0.6. Le QI national est aussi positivement corrélé au PIB par habitant (Lynn, 2006, page 116; La Griffe du Lion, The Smart Fraction Theory of IQ and the Wealth of Nations).

La matière grise située dans les régions frontales du cerveau est fortement héréditaire. Les aires de Broca et Wernicke (compréhension du langage), ainsi que les régions frontales, jouent un grand rôle dans le raisonnement abstrait. Chez les jumeaux identiques, ces régions indiquent une corrélation allant de 95 à 100%. Les jumeaux dizygotes montrent une corrélation très forte dans les aires de Wernicke (Thompson, 2001). Extrait du document :

DZ twins, who share half their genes on average, were still near-identical in the supramarginal component of Wernicke’s language area (r² = 0.7–0.8; p < 0.0001) and highly similar in parieto-occipital association areas (60–70% correlation; p < 0.001).

Lorsque le test de QI a été administré à des enfants de 11 ans, lorsqu’ils atteignent 77 ans, on constate que le QI varie très peu (Deary et al., 2000). Le fait que les différences de QI entre les hommes et les femmes soient imperceptibles seulement à un âge très précoce est parfaitement cohérent avec la théorie héréditariste, étant donné que la maturation (intellectuelle notamment) des hommes est plus longue. Un extrait :

The correlation between Moray House Test scores at age 11 and age 77 was 0.63, which adjusted to 0.73 when corrected for attenuation of ability range within the re-tested sample. […] Mean scores for men and women were very similar at age 11 but, at age 77, men scored higher than women by almost three points.

L’Afrique constitue un paradoxe; ses habitants sont extrêmement pauvres alors que sa terre est extrêmement riche. Jamais, à aucune époque, les africains n’ont réussi à ériger un morceau de civilisation. L’Asie de l’Est est, à l’opposé, relativement pauvre en ressources alors que durant ces dernières décennies, elle a connu le plus grand boom économique dans l’histoire humaine. Ce n’est pas une nation riche qui conduit à une forte intelligence, mais une forte intelligence qui conduit à une nation riche.

L’évidence montre que le QI, fortement héréditaire à l’âge adulte, fortement prédictif du statut social, n’est pas du tout malléable. Tous les programmes d’adoption et d’éducation fortement subventionnés ont, jusqu’à ce jour, échoué à augmenter durablement le QI des enfants de familles défavorisées; à l’âge adulte, l’héritabilité atteint 80%, et les effets de l’environnement partagé s’effondrent, et le QI est largement plus fiable que le statut économique des parents pour prédire le statut économique futur d’un individu. L’écart de QI entre les blancs et les noirs américains n’a jamais diminué (Gottfredson, page 313) alors que le racisme lui-même a fortement diminué. Hart, dans Understanding Human History, expose lui aussi d’autres défaillances de la théorie environnementaliste, voir le chapitre 16 “nature or nurture ?”.

… education is only a small part of the environment that affects IQ, most of the environment being the womb, family and friends, accidents, pollution, and events that are difficult or impossible to control.

Les adultes dans la tranche inférieure de 5% de la distribution de QI (en dessous de 75) sont très difficiles à entraîner et à former, et ils ne sont pas compétitifs pour n’importe quel emploi réclamant des capacités cognitives. Suite à de sérieux ennuis dans la formation des recrues militaires durant la Seconde Guerre mondiale, le Congrès a interdit le recrutement des militaires dont le QI est inférieur à 80. Il existe un lien très clair entre productivité et facteur g. Cela pourrait expliquer pourquoi les entreprises préfèrent délocaliser en Chine (106 de QI) plutôt qu’en Afrique (70 de QI) pour tirer profit des bas salaires. Voir Gottfredson : 1) The General Intelligence Factor, 2) Fundamental Cause, 3) Why g Matters.

Si les noirs sont plus susceptibles que les blancs de passer sous la barre des 70 points de QI, les blancs sont largement plus susceptibles de souffrir d’arriération mentale que les noirs. Voir La Griffe du Lion (“The Politics Of Mental Retardation: A Tale Of The Bell Curve”). Chez les blancs, un faible QI est généralement causé par une anomalie génétique comme le syndrome de Down. Parce qu’ils sont trop éloignés de leur moyenne raciale (100), ils sont susceptibles d’être arriérés. Pourquoi une si faible fréquence d’arriération mentale chez les noirs à faible QI ? Parce que le vrai QI des noirs est plus proche de 70 que de 100. Un QI de 70 est une anomalie chez les blancs, pas chez les noirs. Les noirs avec 70 de QI se comportent tout à fait normalement. Tout le contraire des blancs avec 70 de QI. Cela prouve qu’il existe bel et bien un QI génotypique. Les différences raciales sont réelles.

Puisque les noirs ont un faible QI, et que l’écart-type des noirs est plus faible que l’écart-type des blancs, il y a relativement peu de noirs dans les métiers associés à un statut social élevé qui exigent un fort QI. Les noirs sont plus susceptibles de travailler dans des emplois publics surpayés, où la politique emporte sur la compétence. Les gouvernements blancs font donc le choix de discriminer les blancs en faveur des noirs :

Since the 1978 U.S. Supreme Court decision in Regents of the University of California v. Bakke, which permitted racial discrimination in favor of blacks in medical school admissions, the percentage of whites in medical schools between 1986 and 2005 has dropped 27% while the percentage of blacks has increased 23.8%. (Association of American Medical Colleges).

On pourrait objecter que “la menace du stéréotype” explique les faibles scores des noirs aux tests de QI. Déjà qu’il a été longuement discuté sur ce blog à quel point l’argument est fallacieux, d’autres le font tout aussi bien (Sailer, 2004, “Stereotype Threat” a.k.a. Occam’s Butterknife; Murray, 2005, “The Inequality Taboo”; La Griffe du Lion, 2003, “How to Optimize Productivity with a Multiracial Workforce: The Theory of Differential Cutoff”). Pour finir, Sackett et al., 2004, démontent cette théorie dans les règles de l’art. La théorie échoue à tous les niveaux. [57]

L’effet Flynn, artéfact souvent utilisé pour réfuter l’idée que le QI serait héritable, ne se produit pas sur le facteur g. Le Black-White Gap augmente avec la charge en “g” et il est inversement corrélé aux gains séculaires de QI. Ce graphique de Vdare (“Lynn and Vanhanen’s IQ And The Wealth Of Nations Vindicated”, Steve Sailer) ne montre d’ailleurs aucune augmentation séculaire de QI en Europe et en Afrique.

Il semble exister une corrélation positive (0.67) entre la distance de l’équateur et le QI. Mais le faible QI des inuits (91) peut interpeller. Simplement, il y avait moins de sélecteurs pour une forte intelligence dans les régions arctiques que dans les régions tempérées du Nord, où le climat était plus instable. Les gens qui y vivent dépendent de la même source alimentaire toute l’année : les animaux de mer. Le stockage de nourriture pour l’hiver est inutile, et les mêmes compétences peuvent être sans cesse utilisées pour obtenir de la nourriture toute l’année.

Environ 25% de notre métabolisme est consacré à la fonction cérébrale. Les humains ont déjà investi beaucoup de ressources dans le cerveau. Investir encore plus de ressources se traduira par un déficit de ressources pour les autres organes.

Remember, too, that each additional cubic centimeter of brain will probably require more than an additional cubic centimeter of the body’s other organs to support it.

La gazelle, par exemple, a tellement investi dans le cerveau que moins de ressources seront consacrées pour les muscles et les os, de sorte qu’elle ne peut pas échapper aux lions. Un lion qui disposerait d’un énorme cerveau serait alors plus lent, devenant incapable d’attraper même la plus stupide des gazelles. L’animal augmentera la taille de son cerveau aussi longtemps que la matière grise supplémentaire lui assure un succès reproducteur. Si le cerveau dépasse la taille optimale, il réduira son succès reproducteur. L’intelligence optimale dépend des autres traits que l’organisme possède, et l’environnement dans lequel il évolue. Trop d’intelligence est un gaspillage s’il ne possède pas les moyens de faire usage de son intelligence, c’est-à-dire s’il lui manque les bras, les doigts, les tentacules.
De ce fait, l’intelligence optimale était plus faible en Afrique. Les asiatiques du Nord-Est ont 106 de QI, les asiatiques du Sud-Est ont 87 de QI, suggérant que l’intelligence optimale des climats tropicaux est plus bas (moins de sélecteurs).

Il est possible qu’une mutation survenue il y a environ 50 000 ans aurait permis au cerveau de devenir plus efficace (chap. 13), de sorte qu’une plus haute intelligence pourrait être atteinte même avec un petit cerveau. Une autre explication possible serait une transition du modèle économique. L’adage selon lequel 95% des poissons sont capturés par 5% des pêcheurs illustre l’importance de l’intelligence dans la chasse. La vaste expansion de l’approvisionnement alimentaire rendue possible par l’agriculture et la domestication des animaux a réduit les pressions de sélections, car une personne incapable de survivre comme chasseur pourrait survivre en tant que fermier. Une forte intelligence n’est plus nécessaire pour acquérir de la nourriture. Les gros cerveaux sont évincés pour laisser place à un meilleur système immunitaire. Plus de détails sur Science World (Human evolution, radically reappraised) :

… brains have been get­ting smaller for 20,000 to 30,000 years […] Also, growth in more ad­vanced brain ar­eas might have made up for the shrinkage, Coch­ran said; he spec­u­lated that an al­most break­neck ev­o­lu­tion of high­er fore­heads in some peo­ples may re­flect this.

… ev­o­lu­tion should speed up as a pop­u­la­tion grows. This is be­cause pop­u­la­tion growth cre­ates more op­por­tu­ni­ties for new mu­ta­tions; al­so, the ex­pand­ed pop­u­la­tion oc­cu­pies new en­vi­ron­men­tal niches, which would drive ev­o­lu­tion in new di­rec­tions.

Un chasseur qui tue des animaux réduit la quantité de nourriture disponible pour les autres chasseurs, de sorte que la croissance démographique était limitée. La connaissance a fleuri, et les hommes savent cultiver la terre. Depuis, la démographie avait moins de limites. La taille du cerveau optimale est plus faible pour un agriculteur que pour un chasseur-cueilleur.

But once populations had expanded to the greater carrying capacity made possible by agriculture and private property made brains pay off again, higher intelligence was once more selected.

Une preuve évidente serait que les prédateurs ont une intelligence supérieure à celle des non-prédateurs; de même, les animaux domestiqués ont un plus petit cerveau et une plus faible intelligence que les animaux sauvages. En moyenne, les chiens, chats, moutons et cochons domestiques ont un cerveau 25% inférieur que leurs homologues sauvages. Lorsque les chats domestiques redeviennent sauvages, les grands cerveaux réapparaissent.
La domestication rend les animaux dociles, favorisant ainsi la néoténie [84]. L’agriculture, à certains égards, semblent sélectionner la docilité et la néoténie. Les hommes sont devenus moins sauvages, plus néoténiques et donc plus beaux.

Chapitre 15 – Civilizations and Achievements

La différence anatomique majeure entre l’homme archaïque (sapiens) et l’homme moderne (sapiens sapiens) serait que ce dernier était plus gracile; moins de ressources dans l’organisme ont été dépensées sur les os et les muscles.
Avant la révolution culturelle il y a 50 000 ans, le progrès humain était péniblement lent. Il y avait peu d’amélioration dans les armes et les outils. Après cette révolution culturelle, les outils ont été mieux conçus. L’homme ne laisse plus les corps (morts) pourrir ou être mangés par les animaux. Il enterre les morts, souvent avec des objets de valeur, car son esprit pouvait imaginer une vie après la mort. Les dessins et sculptures (Figure 15-1) ont également montré des preuves de la pensée abstraite.

Que s’est-il passé ? Un allèle, nouvellement découvert, du gène MCPH1 (microcéphalin) est survenu il y a environ 37 000 ans. Celui-ci affecte la taille du cerveau et l’intelligence (Rushton nie cependant). Cet allèle, conjointement avec un autre allèle similaire du gène ASPM, qui est survenu encore plus récemment, est encore rare chez les africains. Cela peut expliquer certaines différences entre le QI des eurasiens et des africains et les capacités pour un comportement civilisé.
La civilisation est une bonne indication du niveau d’intelligence d’un peuple et de son évolution depuis l’homme archaïque. La taille de la civilisation est compatible avec les traits qu’ils ont, notamment la complexité et la taille du cerveau.

La plupart des points du tableau ci-dessus ont été discutés par John R. Baker, “Race” (1974).

Le Grand Zimbabwe est la plus grande ruine de l’Afrique sub-saharienne. Les africains ont probablement servi comme main-d’œuvre, il est peu probable qu’ils aient dirigé sa construction car elle n’est pas représentative de la culture et de la tradition architecturale du Zimbabwe. Les africains ne font pas usage de la construction en pierre. La Rhodésie, comme on l’appelait quand elle fut dirigée par les blancs, était le grenier à blé de l’Afrique. Le Zimbabwe, comme il a été rebaptisé après que les africains aient pris le relais, ne réussit même pas à nourrir la moitié de sa population.

Even Liberia, founded by repatriated American slaves, is dissolving into chaos and cannibalism, despite the infusion of African Americans who had lived in a white country.

Lorsque les blancs ont été chassés de l’Afrique du Sud, en 1994, le PIB a connu aussitôt un déclin brutal. En fait, l’exode des blancs avait déjà commencé peu avant cette date, et la croissance du PIB montrait déjà un essoufflement. Le NBER rapporte que le revenu moyen de tous ses habitants a chuté de 40% entre 1995 et 2000. L’écart des revenus entre les blancs et les noirs a diminué jusqu’en 1994. Après cette date, l’écart a augmenté, tout comme le nombre de sud africains vivant avec moins de 1 dollar par jour. Voir Gedahlia Braun, pour un témoignage complet de l’Afrique du Sud post-apartheid.
Les noirs sont incapables de maintenir une civilisation dès lors qu’ils sont laissés à eux-mêmes. Tous les exemples en témoignent. Ci-dessous, le Grande Hotel Beira.

Et ce qu’il est devenu, en 2007, après 32 ans de règne noir.

Les bibiliothèques et les écoles sont saccagées, et les livres détruits, depuis le départ des blancs.

Les chiffres indiquent que 97% des scientifiques et 74% des artistes et auteurs les plus importants étaient de race blanche. Quasiment tous des hommes, et provenant majoritairement de 4 pays : Angleterre, Allemagne, France, Italie. Le reste était pour la plupart des asiatiques. Mais aucun noir. Les inventions présumées faites par des noirs ont été largement exagérées (“Black Invention Myths”).

Les grands mammifères ont disparu de l’Australie il y a 45 000 ans, de l’Europe et du nord de l’Asie il y a 10 000 ans, de l’Amérique du Nord il y a environ 11 000 ans; et, fait intéressant, tout cela coïncide avec l’arrivée des eurasiens. En revanche, les grands mammifères en Afrique (éléphants, girafes, rhinocéros, hippopotames, lions, gorilles…) vivent encore aujourd’hui. Si les africains n’ont aucun remords à tuer ces animaux, une juste conclusion serait que les animaux n’ont pas encore été tués parce que les africains n’avaient pas inventé les moyens pour le faire. [31]

Now that Africans have white man’s guns, these and smaller animals are disappearing. […] The bonobo chimp is being killed as bush meat, and so are many other animals that Africans could not have killed without white technology. The chimpanzee and the gorilla did get some revenge – Africans who ate them picked up the virus that causes AIDS.

Chapitre 16 – Primitive Traits

Si, de façon générale, l’africain est physiquement le plus primitif des trois races, il n’est pas aussi poilu que le caucasien. L’explication serait que les poils réduisent l’efficacité du refroidissement corporel grâce à la transpiration. Les poils sont adaptés chez les premiers singes, et deviennent mal adaptés chez les singes bipèdes. Les poils sont adaptés pour les hommes des climats froids, avant de devenir mal adaptés lorsqu’ils ont eu des vêtements.
Les traits primitifs sont fortement corrélés avec les traits tropicaux, ce qui était à prévoir puisque nos ancêtres ont vécu dans les climats chauds avant que leurs traits aient évolué pour leur permettre de vivre dans des climats plus froids. Les descendants de ces ancêtres tropicaux ont tendance à conserver certains de ces traits, parce qu’ils peuvent servir un autre but. Des longs bras permettent aux singes de se balancer à travers les arbres; ces traits peuvent être conservés par leurs descendants tropicaux, même s’ils ne servent plus pour se balancer à travers les arbres, puisque de longs bras sont aussi utiles pour dissiper la chaleur et jeter des objets.
Tous les traits tropicaux ne sont pas primitifs; certaines résistances aux maladies (ex : anémie falciforme), uniques aux humains des tropiques, n’ont probablement pas été possédées par leurs ancêtres.

Le dimorphisme sexuel est en déclin, depuis l’australopithèque à l’homme, et il est grandement influencé par la sélection sexuelle. Plus de promiscuité et moins de liens de couple conduisent à une augmentation du dimorphisme sexuel, car les hommes doivent faire la compétition pour les femelles.

Selecting mates for their masculinity and femininity increases sexual dimorphism and selecting mates who will pair bond reduces it; neoteny also reduces sexual dimorphism. Of the three major races, Asians are the least sexually dimorphic.

Le progrès technologique peut aussi réduire certains traits primitifs. Un homme robuste est plus primitif qu’un homme gracile. Ce dernier investit moins de ressources dans les os et les muscles, et plus dans le cerveau (Lewin, 1998). Les techniques de cuisson, et le fait de manger plus de viandes, acquises par des armes améliorées, réduisent le besoin des grandes dents, des puissants muscles de la mâchoires, des bourrelets sus-orbitaires, de la carène sagittale, des os du crâne lourds et épais. Les noirs ont plus de dents et des molaires plus grandes que les blancs qui, à leur tour, ont plus de dents et des molaires plus grandes que les asiatiques.

Détail intéressant : les blancs et les noirs voient les traits primitifs comme menaçants (Lieberman, 2005). Cependant, certains traits primitifs (grande mâchoire, muscles et os lourds) sont des signes de masculinité. Cet aspect “sauvage” peut expliquer pourquoi la grande majorité des couples black-white sont composés d’une femme blanche et d’un homme noir.

When body hair was lost, dark skin was strongly selected for in the tropics, but not in the temperate zones. Producing melanin (which makes skin dark) is costly but necessary for survival in the tropics, but in the north incurring that cost is unnecessary, a waste of resources (Rogers, 2004), and reduces the body’s production of vitamin D. The fact that the palms and the bottom of the feet of Africans are white also suggests the absence of dark pigmentation when it is not needed. Africans are lighter in color immediately after birth, as dark skin is not needed in the womb, but soon darken. (Cartwright, 1857, p. 45).

Un autre trait primitif est la sclère jaunâtre : elle est présente chez les gorilles, certains africains et aborigènes.
Chez les singes, le larynx est plus élevé dans la gorge et, en conséquence, le nombre de sons différents qu’ils peuvent émettre et la facilité avec laquelle ils peuvent contrôler les sons qu’ils émettent sont diminués. La capacité à émettre des sons plus variés induit une meilleure communication entre les gens afin qu’ils puissent transférer les informations plus facilement et avec plus de précision. Cette caractéristique est utile à la chasse [17], au combat, et à la transmission des connaissances à la génération suivante.

Une grande bouche est une caractéristique des singes; elle permet d’ouvrir complètement la bouche pour exposer les dents, et mordre. Le nez plat est un autre trait primitif, car les singes ont le nez très plat mais aussi parce que les os du nez externe (nécessaires à un nez saillant) sont absents chez les singes et les premiers hommes. Les fesses proéminentes sont des traits primitifs, une caractéristique des primates femelles, particulièrement lorsqu’elles sont en chaleur.